A Beyrouth, un centre aux petits soins des plus démunis
Publié le 11 février 2016
Liliane, Sarah, Pauline et Nahia parlent de leur travail au sein d’une ONG qui aide et soigne les familles démunies.
Droits humains et solidarité
La franco-libanaise Sarah Cheaib est chef de projet pour Santé Sud. Cette association marseillaise soutient l’ONG libanaise Beit Atfal Assumoud, qui vient en aide aux personnes qui n’ont pas les moyens de se soigner.
Nous voici dans les locaux de Beit Atfal Assumoud. C’est à quelques pas du camp de Chatila.
Sources photographiques
Autour du camp de Chatila. Avec la crise des poubelles, les problèmes d’hygiène redeviennent une vraie préoccupation.
À l’intérieur du camp de Chatila.
Le lieu d’accueil au cœur du camp de Chatila.
Le lieu d’accueil au cœur du camp de Chatila.
Pauline avec un jeune patient.
Formation d’assistantes sociales.
Séminaire de formation avec un pédopsychiatre venu de France.
Sarah (sur la droite) avec deux assistantes sociales.
Liliane Younes à son bureau.
Sources sonores
Liliane, qui soignez-vous dans votre centre de santé associatif ?
Pourquoi viennent-ils se faire soigner chez vous et pas à l’hôpital ?
Quels sont vos moyens pour faire tourner un tel centre ?
Sarah, pouvez-vous nous en dire plus sur l’association Santé Sud ?
Où est basé Santé Sud ? Où trouvez-vous l’argent pour aider les Libanais ?
Pour vous qui avez grandi en France, qu’est-ce que ça représente de venir travailler au Liban ?
Le témoignage de Nahia Sleiman, orthophoniste au centre.
Le récit de Pauline Bresse sur le cas de Mustapha, un enfant qui a beaucoup progressé grâce au centre.